Hem hem... Heu... Deux mois ? Oh, le temps passe vite, dites donc... Le problème, c'est que je fonctionne trop à la passion dans la vie. La passion, ça n'aide pas à la stabilité et à l'effort sur la durée. Vous savez, vous vous passionnez pour une chose, puis une autre qui vous fait abandonner la première, et encore une autre... Pendant vos intervalles de passion, vous êtes corps et âme sur la chose en question, capable de soulever des montagnes à ce sujet... Que ce soit un blog, un projet personnel, un livre, un jeu... Jusque là, pas de problème, vous vous passionnez, vous vous investissez, et puis si un jour vous abandonnez, ça fera peut-être quelques déçus, mais bon... Non, ça devient déjà plus problématique lorsqu'il s'agit de personnes, je vous laisse imaginer un instant...
Il y a différentes approches de ces passions en dents de scie, on peut passer d'une à une autre, en avançant en ligne droite tout le temps. C'est un peu décevant, souvent c'est du gâchis, mais là où ça devient plus complexe et peut-être plus problématique, c'est lorsque les passions deviennent récurrentes, qu'on avance en cercle, revenant sans cesse à quelque chose précédemment mis à l'écart. Oh... Encore une fois, quand ce sont des jeux, des objets, des textes, on peut y revenir... Quand ça sera un blog, quelques personnes vous auront peut-être oublié et... Quand ça sera une personne, il sera peut-être trop tard pour y revenir.
Bel article ^^ très intéressant ! Quoi de plus intense, en effet, et de plus éphémère qu'une passion ? Quoi de plus attirant - et de plus risqué ! Car alors on risque de ne pas achever ce en quoi on s'est jeté corps et âme. Dommage, d'ailleurs. Et pour sûr, la passion envers une autre personne est la plus embarrassante.
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